Critique

[Critique ciné] Le Jeune Karl Marx

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME HISTORIQUE | Quelques mois après l’excellent documentaire I Am not your Negro, Raoul Peck se frotte à nouveau à l’Histoire, par l’entremise de la fiction cette fois.

Quelques mois après l’excellent documentaire I Am not your Negro, Raoul Peck se frotte à nouveau à l’Histoire, par l’entremise de la fiction cette fois. Plongeant au coeur des années 1840, Le Jeune Karl Marx revient sur la rencontre, dans le contexte social houleux de la Révolution industrielle, entre Marx et Friedrich Engels, rencontre aux allures de déflagration qui débouchera sur le manifeste du Parti communiste, et la transformation politique radicale du monde dont il était porteur. La résonance avec l’époque actuelle n’est nullement fortuite, Peck s’en tient hélas à une reconstitution historique fort scolaire et décorative, son film ne s’écartant guère d’un didactisme pesant, tout en pâtissant d’une distribution inégale.

De Raoul Peck. Avec August Diehl, Stefan Konarske, Vicky Krieps. 1 h 58. Sortie: 04/10.

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