Critique

[critique ciné] Io sto bene, terriblement schématique et balisé

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Fraîchement retraité, le vieil Antonio (Renato Carpentieri) a passé bien malgré lui toute sa vie loin de son pays natal quand il rencontre Leo (Sara Serraiocco), une jeune DJ qui tente sa chance à l’étranger: soit le point de départ téléphoné d’une relation intergénérationnelle vaguement complice aux résonances hélas désespérément stériles. Un film terriblement schématique et balisé, entrecoupé de flash-back à la patine très artificielle, qui se complaît dans une mélancolie de carte postale.

De Donato Rotunno. Avec Renato Carpentieri, Alessio Lapice, Sara Serraiocco. 1h34. Sortie: 02/02. *(*)

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