Critique

[Critique ciné] Hope Gap, mélancolie et manque d’ambition

Philippe Manche Journaliste

Deuxième film en tant que réalisateur de William Nicholson, scénariste de Gladiator, Les Misérables

Petite crique dans le Sussex aux falaises d’une troublante blancheur, Hope Gap donne aussi son titre au deuxième film en tant que réalisateur de l’Anglais William Nicholson, surtout connu comme scénariste (Gladiator, Les Misérables, Everest…). C’est sans doute là où le bât blesse dans cette rupture amoureuse entre Grace (Annette Bening) et Edward (Bill Nighy) après 30 ans de vie commune. Si le ton est empreint d’une certaine mélancolie autour de thématiques universelles comme le regret, le deuil, l’absence, le vide ou le conflit de loyauté des enfants écartelés, la mise en scène manque cruellement d’ambition.

Drame de William Nicholson. Avec Annette Bening, Bill Nighy, Josh O’Connor. 1h41. Sortie: 02/09. ***

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content