Critique

[Critique ciné] Hardcore Henry, jouissif

Hardcore Henry, de Ilya Naishuller © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

ACTION/SCIENCE-FICTION | Forcément répétitif, et pompé sur le gaming façon Call of Duty, mais tout de même jouissif!

Le polar « noir » The Lady in the Lake (1947), de et avec Robert Montgomery, fut le premier film de fiction à être intégralement filmé en caméra subjective. Une septantaine d’années plus tard, Hardcore Henry n’affiche pas la même classe, mais son délire fait de thriller, d’action, de science-fiction et d’humour -littéralement- massacrant offre au spectateur une expérience par endroits bien excitante. Nous vivons le film à travers les yeux d’un cyborg confronté à un démiurge en mal de domination planétaire. Forcément répétitif, et pompé sur le gaming façon Call of Duty, mais tout de même jouissif!

De Ilya Naishuller. Avec Sharlto Copley, Danila Kozlovsky, Haley Bennett. 1h34.

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