Critique

[Critique ciné] Drôle de père, attachant mais lisse

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Il y a beaucoup de tendresse dans ce deuxième film de la réalisatrice belge Amélie van Elmbt.

[Critique ciné] Drôle de père, attachant mais lisse

Il y a beaucoup de tendresse dans ce deuxième film d’une réalisatrice belge chroniquant les rapports délicats d’un homme revenant après des années d’absence à Liège, où il avait laissé une femme et leur enfant, une petite fille qu’il n’a jamais rencontrée. Un concours de circonstances va mettre gamine et papa en présence, sans qu’elle sache qu’il est son géniteur… Amélie van Elmbt suit avec sensibilité la mésaventure du tandem, la naissance d’une relation dont on peut facilement deviner où elle aboutira. Son film est attachant mais lisse, mû qu’il est par de bons sentiments s’incarnant, certes, mais sans réelle surprise.

De Amélie van Elmbt. Avec Thomas Blanchard, Judith Chemla, Lina Doillon. 1h26. Sortie: 22/11. ***

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