Critique

[Critique ciné] Cessez-le-feu, les séquelles intimes de 14-18

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Dans ce beau film d’Emmanuel Courcol, un Romain Duris ardent emmène une distribution de choix.

[Critique ciné] Cessez-le-feu, les séquelles intimes de 14-18

Des trois fils Laffont, le premier est mort au front, le second en est revenu traumatisé, muet, le troisième est parti aux colonies, oublier en Afrique les horreurs d’une guerre qu’on a nommée Grande et qui fut surtout terrible, meurtrière. Les séquelles intimes de 14-18 sont au coeur du beau film d’Emmanuel Courcol, une oeuvre sobre et simple en surface mais riche d’une sourde émotion et de résonances puissantes, y compris contemporaines. Un Romain Duris ardent emmène une distribution de choix, où se signalent la vibrante Céline Sallette et un Grégory Gadebois qui exprime, avec une retenue exemplaire, les combats qui se poursuivent dans la tête de son personnage.

D’Emmanuel Courcol. Avec Romain Duris, Céline Sallette, Grégory Gadebois. 1h43. Sortie: 03/05. ***(*)

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