
Critique ciné: Cafard
L’occupation allemande durant la Première Guerre mondiale est rarement évoquée.
C’est donc avec grand intérêt qu’on se plonge dans les premières scènes de Cafard, film d’animation en « motion capture » s’ouvrant sur l’agression et le viol d’une jeune Ostendaise par quelques soldats teutons.
L’adolescente est la fille du champion du monde de lutte, qui reviendra dare-dare au pays avant d’intégrer un bataillon de blindés appelé à sillonner l’Europe en guerre et en révolution…
L’histoire est basée sur des faits réels, et des plus intéressants. Dommage que la fresque tragique, par endroits spectaculaire, souffre d’une animation inégale, et d’effets comiques inutilement appuyés.
DE JAN BULTHEEL. AVEC WIM WILLAERT, DINARA DRUKAROVA, MAARTEN THOMAS KETELS. 1 H 26. SORTIE: 23/09.
L.D.
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