Critique

[Critique ciné] Brahms: The Boy II, plutôt avare en frissons

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

Elle ne fait pas très peur, cette suite d’un honnête film fantastique sorti en 2016 et centré sur une poupée maléfique à l’effigie d’un petit garçon. Laquelle poupée, une fois déterrée, va cette fois hanter l’existence d’une famille urbaine ayant eu l’imprudence de s’installer dans le manoir maudit où survivent les souvenirs de meurtres remontant loin dans le temps. Honnêtement réalisé par William Brent Bell , Brahms: The Boy II ménage un certain suspense mais repasse tellement dans les pas du premier film qu’une bonne partie de ses effets narratifs peuvent être anticipés. Plutôt avare en frissons, cette tranche de fantastique à l’ancienne finit par ronronner plutôt que rugir.

Fantastique/Horreur. De William Brent Bell. Avec Katie Holmes, Christopher Convery, Owain Yeoman. 1h27. Sortie: 26/02. **(*)

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