Critique

[critique ciné] Bergman Island, un peu vain et superficiel

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Septième long métrage de Mia Hansen-Løve, autrice notamment de L’Avenir et de Tout est pardonné, Bergman Island envoie un couple de cinéastes en résidence d’artistes dans l’île de Farö, là où Ingmar Bergman s’était installé à la fin de sa vie. Sous son ombre, écrasante? Si Tony (Tim Roth) progresse sans sourciller, Chris (Vicky Krieps) bute sur son scénario, orchestrant les retrouvailles sur l’île de deux amants séparés par la vie (Mia Wasikowska et Anders Danielsen Lie). Et le film d’enchâsser ces deux histoires, observant les deux couples en miroir. Las, partie comme son héroïne chercher l’inspiration à Farö, Mia Hansen-Løve n’en a ramené, en dépit de quelques beaux moments, qu’un roman-photo un peu vain et superficiel…

De Mia Hansen-Løve. Avec Vicky Krieps, Tim Roth, Mia Wasikowska. 1h53. Sortie: 24/11. **(*)

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