Critique | Séries/Télé

Ce soir sur Be Series: A Gentleman in Moscow avec Ewan McGregor en comte russe

3,5 / 5
© Paramount
3,5 / 5

Titre - A Gentleman in Moscow

Genre - Minisérie

Réalisateur-trice - Ben Vanstone

Quand et où - Samedi 12 octobre à 20 h 30 sur Be Series

Casting - Ewan McGregor, Mary Elizabeth Winstead, Fehinti Balogun

Nicolas Bogaerts Journaliste

Ewan McGregor est à l’affiche de cette minisérie britannique basée sur un roman d’Amor Towles. Il y incarne le comte russe Alexander Ilyich Rostov.

En 1921, le comte Alexander Ilyich Rostov (Ewan McGregor), tout juste revenu à Moscou après un long séjour parisien, est pris dans une nasse révolutionnaire à laquelle il n’entrave rien. Condamné à la réclusion par un tribunal bolchévique, il est assigné à domicile dans le prestigieux Hotel Metropol, où il passera les prochaines décennies. De ce purgatoire, il sera l’observateur lointain des vicissitudes du régime soviétique, de l’avènement du stalinisme aux purges et aux victoires de la Seconde Guerre mondiale.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Explorant les recoins de cette improbable geôle, Rostov y fera des connaissances, des découverte et traînera son spleen de dandy dans un récit au carrefour de la fantasy désarticulée et des tragédies historiques. Adapté d’un roman sorti en 2016 sous la plume d’Amor Towles, cette minisérie est visuellement chatoyante. On y retrouve un Ewan McGregor en toute grande forme dans le rôle de cet aristocrate délicat, racé, disert et anachronique, après ses errements de Jedi contrit. Quand elle prend rendez-vous avec l’Histoire et les conséquences diverses sur la population, A Gentleman in Moscow manque un peu de grande focale. Mais à force de souci du détail et de trouvailles rocambolesques, ce cabinet de curiosités en sept épisodes ne provoque jamais l’ennui.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content