Johnny Depp joue à cache-cache dans le nouveau clip de Paul McCartney, Early Days, retraçant sa jeunesse aux côtés de John Lennon à Liverpool. Serez-vous capable de l’identifier?
Johnny Depp fait une apparition éclair dans le dernier clip de Paul McCartney, Early Days. « Ça va devenir un running gag. Il est un peu l’Alfred Hitchcock de mes vidéos », confie l’ancien Beatles au magazine Consequence of Sound. Grand amateur de caméos, Hitchcock était en effet un abonné des apparitions fugaces dans ses films. Paul McCartney y aurait également pris goût mais à sa façon, puisque ce n’est pas lui mais Johnny Depp qui se prête au jeu. Dans un clip en noir et blanc tourné en Louisiane dans une ambiance années 50, l’acteur se fond parfaitement parmi les bluesmen, portant le chapeau et la guitare à la main. L’avez-vous repéré? Non? Allez, un indice: commencez à froncer les sourcils à partir de la 4e minute.
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Il faut croire que Tim Burton n’est pas le seul à avoir dégoté Johnny Depp comme acteur fétiche puisque ce dernier est déjà apparu à plusieurs reprises dans les clips de Paul McCartney: My Valentine pour lequel trois versions avaient été tournées dont une avec Natalie Portman ou encore Queenie Eye. Selon le Huffington Post, l’ex-Beatles rapporte: « J’ai appelé Johnny Depp. Je lui ai dit: ‘Viens, on va s’asseoir en rond et jouer avec des musiciens de blues’ et il a dit OK. Je savais qu’il ne pourrait pas refuser ». En outre, le groupe de guitaristes qui apparaît dans la vidéo compte un certain nombre de musiciens célèbres dans le milieu du blues tels que Roy Gaines, Motown Maurice ou Lil Poochie.
Le clip du morceau Early Days, qui fait partie du dernier album de Paul McCartney, New, retrace la jeunesse de ce dernier aux côtés de John Lennon à Liverpool. Cette relation est illustrée à travers deux guitaristes de blues du sud des États-Unis que l’on suit depuis leur petite jeunesse passée ensemble à jouer de la guitare, échanger des vinyles et draguer les filles, alors que Paul McCartney chante « en noir de la tête aux pieds, deux guitares sur nos dos, on parcourait les routes, en cherchant quelqu’un qui écouterait la musique que l’on écrivait à la maison. »
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