Critique | Musique

Thundercat – The Golden Age of Apocalypse

JAZZ | A 26 ans, Stephen « Brunner » Thundercat propose déjà un CV long comme son manche de basse. Et éclectique. De passages réguliers chez les « hardcoreux » de Suicidal Tendencies aux piges chez Snoop Dogg, et autres collaborations avec la diva soul Erykah Badu ou encore le vétéran soul Leon Ware.

JAZZ | A 26 ans, Stephen « Brunner » Thundercat propose déjà un CV long comme son manche de basse. Et éclectique. De passages réguliers chez les « hardcoreux » de Suicidal Tendencies aux piges chez Snoop Dogg, et autres collaborations avec la diva soul Erykah Badu ou encore le vétéran soul Leon Ware. L’an dernier, il apparaissait également sur Cosmogramma, album important de 2010, signé Flying Lotus. Retour d’ascenseur: c’est ce dernier qui signe la production de The Golden Age of Apocalypse. A maints égards, il constitue une juste prolongation de Cosmogramma. Soit un trip musical hautement psychédélique. Toujours sous perfusion électronique, le penchant jazz y est cependant accentué, lorgnant fortement du côté de la fusion qui avait cours dans les années 70 (Weather Report…). Les allergiques sont donc prévenus. Les autres auraient tort de ne pas se laisser tenter par les vrilles funky de Brunner.

L.H.

THUNDERCAT, THE GOLDEN AGE OF APOCALYPSE, DISTRIBUÉ PAR BRAINFEEDER/PIAS. ***

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