ROCK | Ancien guitariste et bidouilleur de War on drugs, le remarquable Kurt Vile avait frappé fort en 2009 avec un exceptionnel 3e album solo, Childish Prodigy, et un concert juste éblouissant dans les très new-yorkais Ateliers Claus. Moins lo-fi, de facture très classique, dans un registre que nous, petits Européens, qualifierions d’americana, Smoke Ring for my halo se situe à mi-chemin entre un Tom Petty et un disque en solitaire de Thurston Moore. Produit par John Agnello (Sonic Youth, Dinosaur Jr, The Ponys), il procure déjà de furieuses envies de Nuits Botanique. Sûr qu’on ira y voir Vile le coyote.
Kurt Vile, Smoke Ring for my Halo, distribué par Matador, ****
Le 17/5 aux Nuits Botanique et le 18/5 à Gand (Democrazy)
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J.B.
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