Critique | Musique

Jon Allen – Sweet Defeat

ROCK | La première impression, c’est de débusquer un Dylan jeune. La seconde, qui arrive tout de suite après, c’est d’entendre Rod Stewart il y a 40 ans, bien avant Las Vegas et le trip Blondes.

ROCK | La première impression, c’est de débusquer un Dylan jeune. La seconde, qui arrive tout de suite après, c’est d’entendre Rod Stewart il y a 40 ans, bien avant Las Vegas et le trip Blondes. D’ailleurs, Bob fut l’un des premiers héros de Rod. Boucle bouclée par ce jeune mec (1977) du sud de l’Angleterre un peu hobo, un peu beatnick, un peu crooner. Sur des fuselages folk-rock et de l’acoustique épanoui, Jon Allen se débrouille pour rapprocher Londres de l’americana, évoquer parfois les racines du Band, concevoir un second album d’une bienveillante insouciance. Un joli disque et ce n’est nullement péjoratif.

Ph.C.

Jon Allen, Sweet Defeat, distribué par Rough Trade, ***

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