Critique | Musique

Jessie Ware – Glasshouse

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

POP

Distribué par Universal. ****

En concert le 14/03, à l’AB, Bruxelles.

Jessie Ware - Glasshouse

Quand on l’a découverte en 2012, avec le titre 110 % (produit par Julio Bashmore), Jessie Ware pouvait encore passer pour une version pop et féminine du dubstep, truffant sa ballade d’un sample du rappeur américain Big Pun. À l’époque, d’aucuns voyaient même en elle une version actualisée de Sade. Dès l’album suivant, Tough Love, en 2014, l’Anglaise confirmait l’hypothèse: elle s’y montrait plus classieuse, plus pop, mais aussi plus lisse. De la même manière, le nouveau Glasshouse tient de la grosse production rutilante. Mais cette fois, Jessie Ware parvient à y glisser nuances et sentiments. Entre ballades crapuleuses (Stay Awake, Wait For Me et sa trompette so passé) et soul chatoyante (Midnight), l’Anglaise multiplie les coups d’éclat.

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