Deux ans après la double album Hiver à Paris, Dinos revient avec Kintsugi.
Kintsugi fait référence à l’art japonais qui consiste à réparer les céramiques brisées à l’aide d’or. Et sert d’allégorie parfaite pour le rap du Parisien Dinos, qui a réussi à sublimer son vague à l’âme dans des disques qui, avec le temps, ont tous été certifiés. Le dernier a ainsi atteint le platine. Même si « j’ai compris que beaucoup n’ont pas aimé… », expliquait récemment Dinos dans un post Instagram annonçant la suite.
Kintsugi revient donc aux bases. Soit, à défaut de son album définitif, un disque ramassé sur une quinzaine de titres relativement courts, dominés par le spleen contrarié de l’intéressé, partagé avec (un peu trop) d’invités -d’Hamza à Josman en passant par Lino, Tiakola et même… Hélène Ségara.
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici
