Critique | Musique

Critique musique : Interpol perd d’intensité sur son nouvel album

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© National
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Album - The Other Side of Make-Believe

Artiste - Interpol

Genre - Rock

Label - Matador

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

«The Other Side of Make-Believe»

Si la voix est souvent le marqueur d’un groupe, son empreinte, son signe distinctif le plus notable (a fortiori quand le chanteur s’appelle Paul Banks), tout semble chez Interpol être reconnaissable. Dès les premières notes de clavier, l’arrivée de la batterie, l’apparition d’une guitare, le doute s’envole. The Other Side of Make-Believe est l’œuvre du groupe qui, avec les Strokes et les Yeah Yeah Yeahs, a incarné au début des années 2000 le renouveau du rock new-yorkais. Au programme: onze chansons urbaines et sombres à l’humeur moins cafardeuse que d’habitude. Un septième album d’honnête facture qui perd d’intensité en avançant.

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