Critique | Musique

Baby Berserk pour l’amour inconditionnel du dancefloor

3,5 / 5
Baby Berserk by night. © DR
3,5 / 5

Album - Slightly Hysterical Girls with Pearls

Artiste - Baby Berserk

Genre - Dance Music

Label - Bongo Joe

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

Baby Berserk est né en boîte de nuit, porté par un amour inconsidéré pour le dancefloor et la musique de club.

Baby Berserk, c’est le fruit d’une rencontre improbable d’un pilier du Mauskovic Dance Band (Mano Hollestelle), de la musicienne de synth pop Eva Serena (Relax Head Man) et d’une spectaculaire chanteuse, bassiste et designeuse qui a fringué Adele (Lieselot Elzinga). New wave punk, disco not disco? Appelez ça comme vous voulez.

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Pendant que les Rotterdamois de Tramhaus ruent dans les brancards avec leurs guitares, Baby Berserk donne à Amsterdam des faux airs new-yorkais et au Melkweg des allures de Studio 54. Il y a de la no wave et du DFA, du ESG, du Delta 5, du Blondie, du Human League, du Dinosaur L et du CSS sur ce disque qui célèbre la vie nocturne contemporaine. La B.O. d’une after féministe, engagée et débridée en apothéose d’une soirée haute couture.

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