Critique | Musique

Avec « Cruel Country », Wilco dresse un état des lieux des États-Unis

3,5 / 5
© National
3,5 / 5

Album - Cruel Country

Artiste - Wilco

Genre - Country

Label - dBpm Records

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

“Cruel Country”

Si Jeff Tweedy avait contribué au début des années 90 à écrire l’Histoire de la country alternative au sein d’Uncle Tupelo, Wilco, sans jamais renier ses origines, n’avait jamais pleinement embrassé et assumé cette musique traditionnelle si chère aux Américains. C’est chose faite avec ce double album (21 titres et un peu plus d’une heure et quart) qui dresse un état des lieux des États-Unis et reflète les sentiments ambivalents qu’ils exercent chez lui. “ I love my country like a little boy. Red, white and blue. I love my country. Stupid and cruel.” Le groupe de Chicago n’a peut-être jamais autant assumé son amour pour les Byrds, Gram Parsons et Jackson Browne.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Le 17/06 au Live is Live (Zeebruges).

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content