« Quarante-quatre fois treize. Moins soixante-quatorze. Moins soixante. Il trancha: « Il m’en faut cent… » Un caisson de bois au milieu de la pièce faisait office de guéridon. Ambila y posa une liasse de billets de vingt et tenta vainement d’ériger en piles un tapis de pièces éparses: « Quatre cents francs… C’est ce que j’ai. » Randrianantoandro éclata d’un rire théâtral. « Pour ça, je t’en donne quatre-vingts. Et c’est déjà trop. » »
D’Aurélie Champagne, éditions Points, 312 pages.