La Fille de la supérette

 » Les supérettes japonaises résonnent de toutes sortes de bruits. De la clochette annonçant l’arrivée des clients à la litanie d’une idol pop faisant la promotion des nouveaux produits dans les haut-parleurs du magasin. Des voix des employés au bip du scanner à codes-barres. Autant de signaux qui s’entremêlent pour venir caresser mon oreille: c’est le chant du konbini. »

de Sayaka Murata, éditions Folio, traduit du japonais par Mathilde Tamae-Bouhon, 144 pages.

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