2. Dernier tour lancé

 » Les plafonds étaient éclairés par des ampoules de mille watts. Les murs étaient blanchis à la chaux et à la javel. Le couloir était si grand qu’il se sentait réduit à la taille d’une souris, sortie dans la lumière par le trou d’une plinthe. Au milieu du no man’s land hyper blanc, régnait le blockhaus de verre et d’acier des gardiens de nuit, citadelle Vauban inexpugnable, tout en angles d’attaque et mortellement transparent. Mais les héros et les toxicomanes ne renoncent jamais. »

D’Antonin Varenne, éditions Points, 480 pages.

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