L’avènement de l’intelligence artificielle, de la société de surveillance, l’amplification des dérèglements climatiques… Certains auteurs avaient vu juste dans leurs romans présageant à leur époque un futur complexe. En voici dix.
Roman d’Edward Bellamy (1897), éditions ArcheoSF Publinet, 368 pages.
Égalité des sexes, économie distributive, carte de crédit… En 1897, Edward Bellamy, c’était madame Irma ! Une perle enfin rééditée.
Roman d’Evgueni Zamiatine (1929), éditions Actes Sud/Babel, 240 pages.
La matrice russe trop méconnue de 1984 et du Meilleur des mondes, récemment republiée par Actes Sud.
Roman d’Aldous Huxley (1932), nouvelle traduction à paraître le 10/10, éditions Pocket, 352 pages.
Eugénisme, reproduction automatisée, déni de l’Histoire, culte à Henry Ford… Vous avez dit visionnaire?
Roman de George Orwell (1950), éditions Folio SF, 416 pages
Novlangue et fake news perpétuelles: so 2024, ce 1984.
Nouvelles d’Isaac Asimov (1967), éditions J’ai lu, 256 pages.
Neuf nouvelles pout sceller notre vision de la robotique et des IA.
Roman de J.G. Ballard (1975), éditions Folio SF, 304 pages.
Peut-être le premier des « Cli-Fi » (comme « climate fiction ») qui se multiplient aujourd’hui.
Roman de Stephen King (1987), éditions Le Livre de Poche, 320 pages.
La télé-réalité avant la télé-réalité, et un King au nez creux.
Roman de Kim Stanley Robinson (2011), éditions Pocket, 512 pages.
Comment préparer le monde au changement climatique. Ça va faire mal.
Roman de Benjamin Fogel (2019), éditions Rivages Noir Poche, 280 pages.
En 2058, les données personnelles ne le seront plus. Et le début d’une trilogie déjà classique.
Roman de Michael Christie (2023), éditions Le Livre de Poche, 672 pages.
En 2038, presque tous les arbres auront disparu de la surface de la Terre. Un Canadien nous y prépare.