« J’ai tendance à oublier les noms propres et à ne me souvenir que de la première lettre des noms: dans une conversation, j’ai un jour confondu Soulages et Soutine. J’ai trouvé cette situation amusante et j’ai imaginé le même quiproquo avec Paul Valéry et François Valéry, et les conversations absurdes que cela pourrait entraîner. Cette série sur les chefs-d’oeuvre de la littérature est partie de là. Tout cela est aussi une façon de rendre hommage à ces auteurs, de façon irrévérencieuse. Mélanger les références, redécouvrir un titre ou un auteur sous un angle incongru, qu’il y ait un double niveau de lecture », explique Clémentine Mélois, l’auteur de Chefs-d’oeuvre de la littérature. Pour retrouver l’ensemble de ses détournements, rendez-vous sur sa page Facebook.
Victor Garcia (LEXPRESS.fr)
Mars, et ça repart. Ou comment reprendre un slogan publicitaire pour illustrer l’ouvrage d’un anticapitaliste… Karl doit se retourner dans sa tombe.
Forcément.
En version québécoise dyslexique?
Un peu de verlan… félin.
« Une aventure érotique et maritime, pleine de rebondissements romaneques », explique, honteuse, l’auteur.
Morte de rire, comme (ne) dirait (pas) Marguerite Duras (Hell).
La cancoillotte.
C’est votre dernier mot, Jean-Pierre, le Foucault de Qui veut gagner des millions.
Détournement avec la photo de Sylvester Stallone qui incarne Rambo.
Mais non…
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