Écrire pour sauver une vie

 » L’un de mes grands-pères, John French, celui du côté maternel, plus grand et un peu plus clair de peau que bon nombre des immigrés italiens aux côtés desquels il travaillait comme plâtrier-peintre, avait pour habitude de me jucher sur ses épaules pour me promener dans les rues de Homewood, le quartier noir de Pittsburgh, en Pennsylvanie, où nous habitions. »

de John Edgar Wideman, éditions Folio, traduit de l’américain par Catherine Richard-Mas, 288 pages.

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