Les pires films de 15 réalisateurs cultes

Adam Sandler dans The Cobbler, réalisé par Thomas McCarthy © Image Entertainment
Marise Ghyselings Journaliste

Dans chaque filmographie de grand cinéaste qui se respecte, la tradition veut qu’il y ait une oeuvre inférieure aux autres, une aberration. Avant d’atteindre le sommet avec l’excellent Spotlight, Tom McCarthy avait réalisé la comédie The Cobbler avec Adam Sandler. Mais ce n’est pas le seul à avoir fait une erreur de parcours.

Meilleur film des derniers Oscars, Spotlight est le nouveau succès de Tom McCarthy, huit ans après le remarquable The Visitor. Mais entre ces deux films, le cinéaste a réalisé The Cobbler, une comédie fantastique mettant en scène un cordonnier, Adam Sandler (qui d’autre?), qui découvre une machine magique qui lui permet de prendre l’apparence de ses clients. Sans grand intérêt.

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War Horse de Steven Spielberg

C’est l’histoire mielleuse d’une amitié entre un jeune garçon et son cheval, brisée par la première Guerre Mondiale. Bien qu’irrégulier, Spielberg nous a habitué à mieux, comme son récent Bridge of Spies. À propos de War Horse, notre journaliste Jean-François Pluijgers écrivait dans sa critique: « s’agissant d’une histoire de cheval, on parlera donc d’un film bourrin, en dépit d’un incontestable savoir-faire. » Tout est dit.

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Lucy de Luc Besson

Sorti en 2014, Lucy fut le plus gros succès français à l’étranger depuis 1994 avec 52,1 millions d’entrées. Mais qui dit box-office ne dit pas forcément bon film. Brouillon et bourré d’effets spéciaux, on est à des années lumières de l’excellent Cinquième élément. Notre critique.

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The Hobbit 3 de Peter Jackson

Encore un autre carton commercial qui déçoit. Le dernier opus de la saga est un navet, très éloigné de ce à quoi le Néo-zélandais nous a habitué. Premier problème: le film se base sur six chapitres du roman, c’est peu pour réaliser un film de plus de deux heures. Deuxième problème: Peter Jackson était complètement largué.

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Alien 3 de David Fincher

Pour son premier long-métrage, Fincher avait la lourde tâche de succéder à Ridley Scott et James Cameron. Perfectionniste à l’extrême, le cinéaste a connu de nombreux désaccords avec les producteurs et les scénaristes au point d’être privé du montage final. Sorti en 1992, ce troisième opus de la saga Alien n’a pas fait décoller la carrière du cinéaste comme Se7en, trois ans plus tard, qu’il considère comme son premier film.

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What just happened? de Barry Levinson

Que t’est-il arrivé à toi Barry? Après des classiques tels que Rain Man ou Good Morning, Vietnam, Barry Levinson offre un film qui manque de rythme et d’humour. Un comble pour une satire d’Hollywood avec un casting en or (Robert De Niro, Bruce Willis, Sean Penn et Kristen Stewart).

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Jack de Francis Ford Coppola

Les célèbres réalisateurs peuvent aussi étonner. Coppola qui réalise un film pour enfants fait partie de cette catégorie « surprise ». Avec son film Jack, le pilier de la talentueuse famille Coppola est retourné en enfance. Interprété par Robin Williams, le jeune garçon de dix ans possède un corps qui vieillit quatre fois plus vite que la normale. On est loin de l’univers sombre d’Apocalypse Now ou de la trilogie Le Parrain.

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The Green Hornet de Michel Gondry

Plaisir coupable pour l’humour de Seth Rogen, The Green Hornet n’est pas moins l’oeuvre la plus éloignée des classiques du cinéaste français tels que le génialissime Eternal Sunshine of The Spotless Mind ou encore Soyez sympas, rembobinez. Avec cette comédie de super-héros, Michel Gondry est « plus efficace qu’inspiré. »

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Ladykillers des frères Coen

Même si cette comédie sur fond de thriller nous fait passer un bon moment, Ladykillers reste bien inférieur aux autres oeuvres du duo hyper-talentueux qui a donné des bijoux tel que The Big Lebowski ou Fargo.

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Green Lantern de Martin Campbell

Avant le succès du cinglant Deadpool, Ryan Reynolds avait enfilé le costume d’un autre super-héros. Vert, animé et brillant, c’est celui du ridicule Green Lantern. Un échec cuisant réalisé par Martin Campbell qui est à l’origine du meilleur James Bond récent, Casino Royale.

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Hulk d’Ang Lee

Avant ses deux Oscars pour Brokeback Mountain (2005) et Life of Pi (2012), le réalisateur chinois n’a pas convaincu avec son adaptation du géant vert. Loin de là. Critiqué pour son manque de fidélité et un trop plein de paroles, Ang Lee a tout de même le mérite d’avoir essayé d’apporter une histoire à ce tas de muscles, au lieu de simplement utiliser des effets spéciaux.

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Tomorrowland de Brad Bird

Habitué des studios Pixar, Brad Bird (Les Indestructibles, Ratatouille mais aussi Le Géant de Fer) a délaissé l’animation pour Tomorrowland avec George Clooney. Un flop au box-office qui a conduit à une perte de 120 à 140 millions de dollars pour les producteurs de Disney selon The Hollywood Reporter.

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Me & Orson Welles de Richard Linklater

Ce film ne vous dit rien? Normal, vous n’êtes pas une fan hystérique de Zac Efron. C’est loin d’être son pire film mais ça l’est pour Richard Linklater, le réalisateur à l’origine de l’ode à la vie Boyhood et des romantiques Before Sunrise, – Sunset, – Midnight.

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Alexander d’Oliver Stone

Le réalisateur de Platoon et JFK a mis en scène la vie (trop?) compliquée de l’un des plus grands conquérants de l’histoire, Alexandre le Grand, avec Colin Farell et Angelina Jolie à l’accent à couper au couteau. Un nouveau biopic réalisé par Stone sortira dans quelques mois, celui d’Edward Snowden interprété par Joseph Gordon-Levitt. Espérons qu’il soit meilleur.

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La Planète des Singes de Tim Burton

En 2001, le réalisateur le plus anticonformiste d’Hollywood s’est attaqué au célèbre roman de Pierre Boulle, qui avait déjà donné un très bon film en 1968. Si le projet est alléchant sur papier, c’est une réelle déception. Blockbuster sans originalité, on ne retrouve rien du magicien poétique qui nous avait offert des classiques comme Edward aux mains d’argent ou Big Fish.

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