[Critique ciné] The Room, nanar à l’esthétique publicitaire
DRAME FANTASTIQUE | Olga Kurylenko et Kevin Janssens cabotinent à l’envi dans ce film qui rappelle le lourdingue Mother! de Darren Aronofsky.
Un couple, une maison isolée à retaper, des murs qui renferment un lourd secret: sur ces prémices rabâchées au possible, Christian Volckman greffe l’idée aux accents fantastiques d’une pièce dans laquelle tous les voeux peuvent être exaucés. Comme quoi, par exemple? L’enfant que la nature a toujours refusé à Kate et Matt? Bingo. Si la pauvreté de l’imaginaire développé par The Room laisse tout bonnement sans voix, que dire de la grossière parabole sur le désir insatisfait que renferme son ridicule scénario à twists? Olga Kurylenko et Kevin Janssens cabotinent à l’envi dans ce nanar à l’esthétique publicitaire qui rappelle plus d’une fois le lourdingue Mother! de Darren Aronofsky. En pire.
De Christian Volckman. Avec Olga Kurylenko, Kevin Janssens. 1h30. Sortie: 06/11. *
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