Critique

Critique ciné: Jack et la mécanique du coeur

Jack et la mécanique du coeur © DR
Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

FILM D’ANIMATION | Porté par Mathias Malzieu, chanteur et guitariste de Dionysos, l’univers de Jack et la mécanique du coeur avait été décliné en livre et en chansons avant de connaître, aujourd’hui, un prolongement au grand écran.

Soit l’histoire de Jack, né par un jour de grand froid en 1874 à Edimbourg, et dont le coeur, congelé, serait remplacé par une mécanique fine, fiable sous conditions, à savoir ne pas toucher à ses aiguilles, maîtriser sa colère et éviter de tomber amoureux… Le point de départ d’un conte gothique inscrit dans un monde évoquant celui d’Henri Selick, mais dont l’animation, réminiscente de celle de Un monstre à Paris, autre production EuropaCorp, manque toutefois de liant: s’agissant de mécanique du coeur, on parlera même d’un film curieusement dénué d’âme.

  • De Mathias Malzieu et Stéphane Berla. 1h30. Sortie: 05/02.
L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content