Critique

[Critique ciné] Creed 2, ultra prévisible

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Steven Caple Jr. refait Rocky IV, 33 ans plus tard.

[Critique ciné] Creed 2, ultra prévisible

Rarement scénario aura été plus prévisible que celui deCreed 2! On y refait Rocky IV, 33 ans plus tard. Avec les fils d’Apollo Creed et d’Ivan Drago, pour une revanche par rejetons interposés du combat fatal qui vit papa Creed mourir sous les coups du colosse venu d’URSS. Dolph Lundgren, père d’un Viktor à la musculature explosive, et Sylvester Stallone, mentor de Creed Junior, se retrouvent donc, pour un film où Michael B. Jordan confirme dans le rôle d’Adonis le nouveau champion, digne héritier du regretté Apollo et prêt à défendre son honneur par-delà les années. Bien moins inspiré que le remarquable Creed de Ryan Coogler (parti faire Black Panther), Creed 2 assure, sans plus. Et renonce -provisoirement?- à creuser le passionnant sillon mis au jour par le premier film de la nouvelle saga.

De Steven Caple Jr. Avec Michael B. Jordan, Sylvester Stallone, Tessa Thompson. 2h10. Sortie: 09/01. ***

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content