Critique | Cinéma

Tatami: le judo comme métaphore du combat pour la liberté des femmes iraniennes

3,5 / 5
3,5 / 5

Titre - Tatami

Genre - Drame sportif

Réalisateur-trice - Zar Amir Ebrahimi, Guy Nattiv

Casting - Avec Arienne Mandi, Zar Amir Ebrahimi, Ash Goldeh

Durée - 1 h 3

Dans Tatami, une judokate iranienne est sur le point de réaliser son rêve de médaille. Avant que l’État ne s’en mêle…

Leila est judokate, et iranienne. Alors qu’elle est sur le point de concrétiser ses rêves d’or aux championnats du monde, son entraîneuse lui demande de se retirer. Il ne faudrait pas qu’elle prenne le risque d’affronter une athlète israélienne en finale. Entre son aspiration de sportive à la victoire et de citoyenne à l’émancipation, face à la pression politique sur son destin et celui de sa famille restée en Iran, le sens de l’honneur de Leila comme celui de son entraîneuse seront mis à l’épreuve.

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Ce thriller politico-sportif (parfois un peu trop) ultra-stylisé use avec habileté du judo comme métaphore ultime du combat pour la liberté des femmes iraniennes, s’appuyant sur des histoires vraies qui résonnent avec l’actualité, comme l’illustre le retrait aux récents J.O. d’un judoka algérien pour les mêmes raisons.

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