Critique | Cinéma

Milano: drame flamand sur un père célibataire et son fils malentendant

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Titre - Milano

Genre - Drame

Réalisateur-trice - de Christina Vandekerckhove

Casting - Avec Matteo Simoni, Basil Wheatley, Thibaud Dooms.

Durée - 1 h 50

Dans Milano, la réalisatrice flamande Christina Vandekerckhove filme les relations entre un père célibataire et son fils de 12 ans, malentendant.

Il y a six ans, la réalisatrice flamande Christina Vandekerckhove filait un uppercut avec Rabot, un documentaire qui captait crument la vie dans un immeuble délabré de Gand. Aujourd’hui, elle explore un territoire similaire, mais sous forme de fiction, autour d’un père célibataire, Alain (Matteo Simoni, en marcel et cheveux imbibés de gel), et de son fils malentendant de 12 ans, Milano (Basil Wheatley, dans son premier rôle).

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Le film explore la dynamique dysfonctionnelle mais pleine d’affection qui les lie, dans un environnement miteux où le jeune garçon est malmené par les voyous du coin mais trouve du réconfort auprès d’une dame d’un quartier plus nanti. La rigidité des dialogues, les transitions forcées et le manque de cohérence dans la narration empêchent Milano de dégager l’énergie brute et l’authenticité qui imprégnaient Rabot.

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