Critique | Cinéma

La Jeune Fille et les Paysans: rotoscopie en demi-teinte

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Titre - La Jeune Fille et les Paysans

Genre - Animation

Réalisateur-trice - De DK et Hugh Welchman.

Casting - Avec Kamila Urzedowska, Robert Gulaczyk, Nadia Teresziewicz.

Durée - 1 h 54

Après Loving Vincent sur les dernières années de Van Gogh, Hugh et DK Welchman usent à nouveau de la rotoscopie dans ce drame rural très classique.

Il y a six ans, Hugh et DK Welchman faisaient tournoyer des tournesols à coups de pinceau post-impressionnistes dans Loving Vincent, un biopic animé sur les dernières années de Vincent Van Gogh. Cette fois, ils s’aventurent dans un drame rural polonais du début du XXe siècle, basé sur le roman de Władysław Reymont. Ils recourent à nouveau à la rotoscopie -consistant à dessiner sur des images en prise de vues réelles- pour donner vie à des personnages de paysans bourrus et de jeunes filles rougissantes, mais la technique semble ici bien plus réaliste et moins expressive.

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Ces images peintes n’apportent pas grand-chose à cette histoire ultra classique de couples et de générations qui se clashent quand la blonde Jagna est fiancée de force à un vieux propriétaire foncier. Le tout sur une musique folklorique un peu envahissante.

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