Critique | Cinéma

La contadora de películas: Bérénice Bejo en mère émancipée dans un drame un peu kitsch

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Titre - La contadora de películas

Genre - Drame historique

Réalisateur-trice - Lone Scherfig

Casting - Avec Sara Becker, Bérénice Bejo, Daniel Brühl

Durée - 1 h 56

Dans La contadora de películas, la réalisatrice danoise Lone Scherfig plonge dans le Chili des années 60.

La contadora de películas se déroule dans le désert d’Atacama, au Chili, en 1966. Les hommes travaillent à la mine, les femmes à la maison. Quand le père de María Margarita est victime d’un accident du travail, il n’a plus les moyens d’offrir à sa famille la sacro-sainte sortie au cinéma. La petite fille sera donc chargée de découvrir les films seule, pour mieux les raconter ensuite au reste de sa famille, avec un talent tel que cette représentation devient vite une attraction pour tout le village.

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Ce nouveau film de la réalisatrice danoise Lone Scherfig à la facture ultra classique vire souvent au kitsch, tant par sa direction artistique (notamment la musique) que par son scénario très prévisible, sur fond de domination masculine. Dommage que la belle idée du film (faire apparaître la mère émancipée dans les films du dimanche soir) ne soit que trop furtivement exploitée.

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