
Critique ciné : To Olivia, un biopic sensible sur la perte et la réinvention
Titre - To Olivia
Genre - Drame/Biopic
Réalisateur-trice - John Hay
Casting - Hugh Bonneville, Keeley Hawes, Isabella Jonsson
Durée - 1h39
En 1962, alors qu’ils vivent retirés dans la campagne anglaise avec leurs trois enfants, l’écrivain Roald Dahl (Hugh Bonneville) et l’actrice Patricia Neal (Keeley Hawes) sont confrontés au décès de leur fillette Olivia, emportée à l’âge de sept ans par la rougeole. Et leur couple d’entrer en zone de turbulences, alors qu’il se réfugie dans l’écriture de ce qui deviendra Charlie et la chocolaterie, tandis qu’elle tente de faire face. Une dynamique qui inspire à John Hay (Jimmy Grimble) un film sensible sur la perte, et la faculté de se réinventer, déjouant joliment au passage les pièges du biopic classique (tout en proposant un portrait contrasté de Dahl), mais pas tout à fait ceux de la reconstitution empesée. En découle un joli film à l’ancienne, au charme délicatement ouaté.
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