Critique | Cinéma

Boy Kills World: une dystopie violente trop prévisible

2,5 / 5
Bill Skarsgård, héros sourd et muet de Boy Kills World. © Nthibah Pictures
2,5 / 5

Titre - Boy Kills World

Genre - Action

Réalisateur-trice - Morits Mohr

Casting - Avec Bill Skarsgård, Famke Janssen, Michelle Dockery

Sortie - En salles le 3 juillet.

Durée - 1 h 51

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

On aurait pu espérer mieux de Boy Kills World, une production de Sam Raimi.

Plutôt bavard pour un film centré autour d’un protagoniste sourd-muet, ce sous-Kill Bill à l’atmosphère de jeu vidéo bourrin multiplie les poussées outrancières de violence graphique afin de raconter l’histoire d’un jeune homme assoiffé de vengeance après que sa famille a été décimée par une dynastie corrompue dans un univers dystopique. Produit par Sam Raimi, Boy Kills World s’appuie sur un humour volontiers absurde et une intrigue très générique pour offrir un spectacle prévisible et trop rarement jouissif. Un bon point pour les chansons spécialement composées pour l’occasion par le toujours excellent Leon Michels, alias El Michels Affair.

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