Critique | Cinéma

Black Tea: retour raté pour le réalisateur Abderrahmane Sissako

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Titre - Black Tea

Genre - Drame romantique

Réalisateur-trice - Abderrahmane Sissako

Casting - Avec Nina Mélo, Han Chang, Wu Ke-Xi

Durée - 1 h 50

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Dix ans après Timbuktu, le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako revient avec Black Tea, récit plat et bavard d’une passion.

Premier film en dix ans pour Abderrahmane Sissako, le réalisateur mauritanien du césarisé Timbuktu. Dans Black Tea, drame romantique passé par la Compétition de la Berlinale, il met en scène avec un soin très décoratif le portrait d’Aya, une trentenaire ivoirienne émigrée en Chine, où elle travaille dans une boutique d’export de thé. Là, elle développe notamment des sentiments pour Cai, mais leur histoire aux accents sibyllins doit faire face aux tumultes de leurs passés et aux préjugés…

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Plombé par une ribambelle de métaphores-parpaings et une pénible poésie des petits riens du quotidien, ce récit brouillon d’exil, de passion et d’émancipation cherche en permanence la mélancolie et le raffinement. ­Horriblement bavard, il ne trouve que la platitude et l’ennui.

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