Critique | Musique

Wovenhand – The Laughing Stalk

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK | Flanqué d’un nouveau groupe (il n’a gardé que son batteur), l’âme des 16 Horsepower propose un album lourd, sombre et connoté années 80 produit par Alexander Hacke.

WOVENHAND, THE LAUGHING STALK, DISTRIBUÉ PAR GLITTERHOUSE/V2. **
LE 20/09 À LEUVEN, LE 21/09 À HASSELT, LE 28/09 À L’EDEN (CHARLEROI)…

ROCK | Alors que son bassiste Pascal Humbert rentrait en France pour sauver le vignoble familial dans le Bordelais (version officielle) ou plutôt (vérité vraie) enregistrer un disque avec Bertrand Cantat, David Eugene Edwards décidait de faire table rase. Flanqué d’un nouveau groupe (il n’a gardé que son batteur), l’âme des 16 Horsepower propose un album lourd, sombre et connoté années 80 produit par Alexander Hacke. Le bonhomme a bossé avec Einstürzende Neubauten et les Bad Seeds et ça s’entend. Le virage opéré par Wovenhand n’est pas des plus heureux pour autant. Long Horn excepté, The Laughing Stalk fait moins rire que verser une larme. Puisse-t-il n’être qu’une lubie.

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