
[Critique ciné] Mortal Engines, prévisible mais trépidant
AVENTURE/SCIENCE-FICTION | Des images fortes, efficacement servies par un déluge d’effets en CGI.
Des villes devenues mobiles, montées sur chenilles et battant la campagne. Les modestes pour échapper aux grandes, lesquelles sont devenues prédatrices et absorbent (littéralement) les petites pour se nourrir de leurs ressources énergétiques… Le futur post-apocalyptique imaginé par Mortal Engines (le roman et à présent le film) suscite des images fortes, efficacement servies par un déluge d’effets en CGI. Dommage qu’à l’action prévisible mais trépidante, qui voit une jeune rebelle s’opposer à un Londres impérialiste, le film n’ajoute pas l’indispensable dose de mystère que la présence au générique de Peter Jackson (producteur et coscénariste) laissait pourtant espérer…
De Christian Rivers. Avec Hera Hilmar, Hugo Weaving, Robert Sheehan. 2 h 08. ****
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