[Critique ciné] Je me tue à le dire, portrait décalé et ambigu
COMÉDIE DRAMATIQUE | Je me tue à le dire est le dernier ovni en date du cinéma belge francophone.
Chaque cigarette le rapprochait de la mort. Michel a donc décidé d’arrêter de fumer, mais c’est trop tard, il le sait. Le cancer viendra, il vient déjà peut-être, sous la forme d’une grosseur inquiétante à la poitrine… Portrait décalé, ambigu, d’un hypocondriaque patenté (Jean-Jacques Rausin, très bon), Je me tue à le dire est le dernier ovni en date du cinéma belge francophone. Un cocktail d’humour et de noirceur, d’émotion et de style, par le prometteur Xavier Seron, coréalisateur(1) voici deux ans du déjà bizarre et attachant Dreamcatchers.
(1) AVEC CÉDRIC BOURGEOIS.
DE XAVIER SERON. AVEC JEAN-JACQUES RAUSIN, MYRIAM BOYER, SERGE RIABOUKINE. 1H30. SORTIE: 04/05.
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