
Critique ciné: Dawn of the Planet of the Apes, sombre, tendu et malin
SCIENCE-FICTION | Ce deuxième volet du reboot-prequel de la franchise Planet of the Apes plante son action dans un futur proche à l’équilibre fragile, les singes et les hommes étant sur le point de se livrer une guerre sans merci…
Cornaqué par le réalisateur de Cloverfield, ce deuxième volet du reboot-prequel de la franchise Planet of the Apes plante son action dans un futur proche à l’équilibre fragile, les singes évolués emmenés par César et une humanité largement décimée par un virus dévastateur étant sur le point de s’y livrer une guerre sans merci… Plus abouti visuellement, le film est sombre, tendu et malin -la référence à la trahison de Jules César par Brutus, le clin d’oeil au Black Hole de Charles Burns-, certes, mais aucun moment ne renoue avec l’intensité dramatique de la fameuse scène du Golden Gate Bridge dans l’épisode précédent. Quant à sa portée métaphorique, elle se réduit à un discours assez convenu sur l’altérité.
- De Matt Reeves. Avec Jason Clarke, Keri Russell, Andy Serkis. 2h11. Sortie: 30/07.
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