
Plastic Planet
DOCUMENTAIRE | Dans une mise en scène à la Michael Moore, Werner Boote s’attaque à l’industrie du plastique, que l’on sait omniprésent dans nos vies.
DOCUMENTAIRE | Sur la lancée de Darwin’s Nightmare et de son succès international, le cinéma autrichien s’est fait une spécialité dans le domaine du documentaire écologiste et alarmiste. Dernière production en date de ce sous-genre bien dans l’air du temps, Plastic Planet s’attache à montrer l’omniprésence des matières plastiques dans l’industrie, dans notre vie quotidienne et bien sûr dans un environnement global que cette « invasion » contribue à polluer de manière inquiétante.
Werner Boote, ex-assistant d’Ulrich Seidl et lui-même descendant d’un grand industriel du plastique, se multiplie à la fois derrière et devant la caméra. Adoptant une posture à la Michael Moore, il poursuit sans agressivité, mais avec détermination, des interlocuteurs pas toujours heureux de le voir débarquer… Assez bien documenté, contenant quelques images choc et des explications détaillées, Plastic Planet développe un propos intéressant, inquiétant aussi. Loin de ce que le cinéma documentaire peut offrir de mieux, mais avec une force d’interpellation certaine, et une touche d’humour bienvenue.
Plastic Planet, documentaire de Werner Boote, avec Werner Boote, Theo Colborn, Fred Vom Saal. 1h35.
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Pour les polyglottes, voici le film dans son intégralité:
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L.D.
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