Critique

Now Is Good (Je veux vivre)

© DR
Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | Sachant ses jours comptés par une leucémie en phase terminale, Tessa (Dakota Fanning), 17 ans, a décidé de vivre chaque instant lui restant aussi intensément que possible.

DRAME DE OL PARKER. AVEC DAKOTA FANNING, JEREMY IRVINE, PADDY CONSIDINE. 1H43. SORTIE: 31/10. **

DRAME | Sachant ses jours comptés par une leucémie en phase terminale, Tessa (Dakota Fanning), 17 ans, a décidé de vivre chaque instant lui restant aussi intensément que possible. Et l’adolescente d’établir une liste de choses à faire impérativement, dont les priorités vont être quelque peu chamboulées par sa rencontre avec Adam (Jeremy Irvine) et la découverte de l’amour. Le sujet est sensible, mais si Now Is Good compte bien quelques beaux moments, Ol Parker ne se départit malheureusement guère d’une approchefort convenue, appuyant chacune de ses intentions. Si bien qu’en dépit de la qualité d’ensemble de la distribution (avec encore l’impeccable Olivia Williams), le film fait penser à un remake du Restless de Gus Van Sant, l’inspiration en moins, le sentimentalisme en sus.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content