
SOUL | Excepté le cas Amy Winehouse, la blue-eyed-soul, cette musique noire faite par de petits blancs-becs, n’a pas débouché sur grand-chose de passionnant ces dernières années.
NICK WATERHOUSE, TIME’S ALL GONE, DISTRIBUÉ PAR INNOVATIVE LEISURE. ***
SOUL | Excepté le cas Amy Winehouse, la blue-eyed-soul, littéralement soul aux yeux bleus, cette musique noire faite par de petits blancs-becs, n’a pas débouché sur grand-chose de passionnant ces dernières années. A 25 ans, Nick Waterhouse, californien binoclard bien coiffé au look de Buddy Holly pas vraiment moderne, change un peu la donne. Enregistré à l’ancienne, blindé de cuivres et de choeurs féminins, vintage, groovy, Time’s All Gone sent bon le rhythm’n’blues des années 50 et 60. Le volant de la vieille décapotable américaine, le bras autour de sa petite amie (I Can Only Give You Everything, Raina), les danses endiablées dans les vieux clubs black moites et décrépits (Some Place)… On s’y croirait.
J.B.
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