Ça va barder ce vendredi au Dour Festival: notre sélection de concerts à ne pas manquer pour ce troisième jour
De Kaaris à Amelie Lens, ça va barder ce vendredi à Dour. Et encore, vous n’avez pas jeté une oreille aux recos du jour, de Chevalier Surprise aux Vulves assassines…
Chevalier Surprise (15h15, au Garage)
Quand deux tiers de l’Experimental Tropic Blues Band font du rock’n’roll avec des déficients mentaux, cela donne Chevalier Surprise. Une tornade brute de décoffrage dans l’esprit du Wild Classical Music Ensemble et des Choolers.
Kau (15h45, à la Last Arena)
Composé d’un claviériste allemand (Jan Janzen), d’un bassiste italien (Matteo Genovese) et d’un batteur norvégien (André Breidlid) ayant en vrac étudié la biologie, la politique internationale et la physique aérospatiale, Kau (anciennement Kau Trio) fait du jazz mais connait la direction du dancefloor.
Loverman (21h45, au Labo)
Chanteur de Shht, pote de Tamino, James de Graef, alias Loverman, flirte avec Leonard Cohen et fait du pied à Nick Cave. Paru en octobre dernier, son exceptionnel premier album, Lovesongs, vient de réapparaitre chez les disquaires dans une version augmentée…
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Ezra Collective (22h, à la Petite Maison dans la prairie)
Vainqueur en 2023 du Mercury Prize, récompense qui consacre le meilleur disque britannique de l’année, Ezra Collective reprend la route avant la sortie fin septembre de son nouvel album: Dance, no one’s watching. Embarquez pour un city trip bouillonnant à la croisée du jazz, du hip hop et de l’afrobeat…
Les Vulves Assassines (Minuit, au Garage)
En France, sa chanson La Retraite a été reprise en masse lors des manifestations contre la réforme des pensions. Projet militant, marxiste et féministe, Les Vulves Assassines font de l’électro punk qui a le poing levé et des fourmis dans les jambes. Les Vulves Assassines aiment la bite mais pas la tienne…
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