Dour J5 : les cinq concerts à ne pas manquer ce dimanche
Dernière ligne droite pour le Dour festival. Avec l’événement Aphex Twin, Damso, Denzel Curry, La Femme… Mais aussi…
KEG
Il y a du post punk, du free jazz, de la no wave et un trombone dans ce groupe de Brighton sans album qui a le sens de l’humour et n’aime pas les enfants (Kids). Fun fun fun… (JB)
Yaya Bey
Poétesse, éducatrice, activiste, l’Américaine s’attaque au patriarcat et au racisme – call it misogynoire… -, avec un mélange de r’n’b et de (neo)soul particulièrement élégant. (L.H)
The Psychotic Monks
Si t’es fan du Gilla Band (Daniel Fox les a aidés à enregistrer leur dernier album) et aimes danser pieds nus sur les tessons de bouteille dans des usines désaffectées, les Français de Psychotic Monks sont faits pour toi. T’inquiète. Tu peux aussi garder tes chaussures.
Heartworms
Dernière protégée en date de Dan Carey et de son label Speedy Wunderground (à qui l’on doit entre autres la découverte de Black Midi et de Squid), Josephine Orme alias Heartworms se fraie un chemin entre PJ Harvey, Interpol, The Cure, Kraftwerk et Siouxsie. Vous avez dit eighties? (J.B.)
Tramhaus
Emmené par le charismatique Lukas Jansen reconnaissable à sa moustache, ses danses décalées et sa coupe mulet, Tramhaus est le king du post punk made in Rotterdam et au-delà. Suer c’est tricher… (J.B.)
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