
Dour 2012: le top 12
S’il ne fallait retenir que 12 concerts des 4 jours à Dour, ce serait ceux-là…
Battles: Rock mathématique? Electro cérébrale? Punk 2.0? Un peu tout ça à la fois, oui. Meilleur moment des quatre jours du festival: Atlas, pardi. Sa mère.
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The Computers: L’énergie punk à l’état brut. Devant une petite centaine de courageux sous une pluie torrentielle, les Londoniens ont imploré tour à tour Jésus, Satan et Moïse pour ramener le soleil. « Le meilleur groupe rock sur le marché », nous chuchote-t-on.
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Sébastien Tellier: Grandiloquent et bouleversant. Ridicule et génial. Sébastien Tellier, dans toute sa splendeur.
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La Femme: Elle est jeune, elle est belle, elle sent bon le sable chaud. Chante en français. Aime la pop synthétique des années 80 et le surf. La Femme idéale, quoi.
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The War On Drugs: Un concentré de rock US aux accents dylanesques et aux vertus hautement lysergiques sorti tout droit du cerveau d’Adam Granduciel, le bien nommé. Et un final, hors du temps, carrément mystique.
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Franz Ferdinand: Machine à tubes à l’efficacité sans faille, la bande à Kapranos n’est pas du genre à faire dans la dentelle. Et tant pis s’il pleut comme vache qui pisse.
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The Inspector Cluzo: Les fils illégitimes de George Clinton et Pantera, venus de Gascogne et fiers de l’être. Un concert sauvage et sans aucun complexe.
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Fanfarlo: Dans le genre orfèvrerie pop-folk, avec violon et trompette, le plus beau concert du festival. Un peu comme si Alec Ounsworth de Clap Your Hands s’invitait chez Ra Ra Riot.
Baxter Dury: C’est qu’il a craqué un bouton à son slip, le fils de Ian. Et ajouté du coup à son flegme british la dose d’autodérision qui manquait cruellement à son dernier concert bruxellois.
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Bon Iver: Il a beau s’être vautré sur l’un ou l’autre morceau, Justin Vernon a livré quelques-uns des plus beaux moments de ce festival. Perth en tête.
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Nick Waterhouse: De la blue-eyed-soul mâtinée de rhythm’n’blues par un blanc-bec de 25 ans au look de binoclard rétro-nerd façon Roy Orbison sixties. Un peu sage au début, le concert s’est emballé dans une seconde moitié d’enfer. Groovy baby!
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Great Mountain Fire: Une intro floydienne, un visuel digne des grands, et surtout un set ultra efficace et dansant: de futurs incontournables, pas de doute.
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