Seules les bêtes
Les premiers mots de trois romans à (re)lire.
“Les gens veulent toujours un début. Ils s’imaginent que si une histoire commence quelque part, c’est qu’elle a aussi une fin. Que l’orage a cessé, qu’ils peuvent revenir à leur routine, épargnés qu’ils ont été. Ça se tient, je dis pas. Et puis ça rassure un peu. Il faut bien parce que ce qui s’est passé cette année-là, ça en a inquiété plus d’un.”
De Colin Niel, éditions Le Livre de poche, 288 pages. Parution le 29/03.
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