« Elle vivait dans le cimetière à la façon d’un arbre. À l’aube, elle assistait au départ des corbeaux et accueillait le retour des chauves-souris. Au crépuscule, c’était l’inverse. Entre leurs allées et venues, elle s’entretenait avec les fantômes des vautours qui hantaient ses branches hautes. »
D’Arundhati Roy, éditions Folio, traduit de l’anglais (Inde), 560 pages.