L’Heure de Lire: 10 classiques incontournables de la littérature mondiale

Épopée d’Homère (VIIIe siècle av. J.-C.), éditions Flammarion/GF, 528 pages.

Épopée fondatrice de la littérature occidentale, elle explore des thèmes universels tels que le voyage, le destin, et la quête de soi.

Roman de Miguel de Cervantès (1605),  éditions Le Livre de Poche, 2 tomes.

Dans ce qui est considéré comme le premier roman moderne, Cervantes critique la société tout en jouant sur la frontière entre la réalité et l’illusion.

Roman de Victor Hugo (1862), éditions Folio, 1344 pages.

Cette fresque sociale puissante dénonce les injustices et explore la condition humaine, entre rédemption, amour et révolte.

Roman de Herman Melville (1851), éditions Libretto, 944 pages.

Exploration philosophique de la nature humaine et de l’obsession, ce roman complexe est une métaphore de la lutte entre l’homme et le destin.

Roman de Gustave Flaubert (1857), éditions Folio, 544 pages.

Précurseur du réalisme, il expose la banalité de la vie provinciale et la désillusion face aux rêves romantiques.

Roman de Fiodor Dostoïevski (1866), éditions Flammarion/GF, 726 pages.

Analyse psychologique profonde d’un homme confronté à la culpabilité et aux tourments moraux après un meurtre.

Romans de Marcel Proust (1913-1927), éditions Folio, 7 tomes.

Chef-d’œuvre introspectif sur la mémoire, le temps et la nature de la vie à travers une fresque sociale et intime.

Roman de George Orwell (1949), éditions Folio SF, 416 pages

Roman dystopique prophétique sur la surveillance et la manipulation des masses, critique des régimes totalitaires.

Roman de Gabriel García Márquez (1967), éditions Points, 480 pages.

Représentation magistrale du réalisme magique, ce roman incarne l’histoire et les mythes de l’Amérique latine.

Roman de Toni Morrison (1987), éditions 10/18, 432 pages.

Roman essentiel sur les traumatismes de l’esclavage, alliant réalisme et fantastique pour questionner l’héritage racial américain.