ROMAN | Elle nous est revenue, une fois de plus, (une fois de trop?), la Mémé Cornemuse qui nous avait tant réjouis dans les romans précédents. Mais ici les gags sont prévisibles et s’il y a encore de très belles trouvailles lexicales et narratives, Mémé s’essouffle.
Toujours forte en gueule, le gosier en pente et collectionneuse de parties de jambes en l’air, Mémé poursuit les scouts en « gazelle pipeuse », les marins pour leur pompon et les garçons bouchers qu’elle initie aux joies de la littérature. Elle focalise toujours sur JCVD même si elle se ferait bien un petit Nespresso avec Clooney!
Un peu trop hardie, elle termine à l’hôpital psychiatrique où Nadine devrait peut-être la laisser se reposer, histoire de revoir son répertoire.
- Editions Belfond, 228 pages.
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